Nous savons très bien que l’âge légal pour qu’un adolescent puisse non seulement consentir à l’acte sexuel, mais surtout maîtriser les conséquences de ce consentement n’équivaut pas à l’âge psychique réel, lequel est très variable selon chaque sujet et selon l’histoire de chaque famille. C’est pour cela que nous devons, en plus du consentement, nous intéresser aux aptitudes des adolescents pour canaliser, intégrer et s’auto-prémunir des effets parfois déstabilisateurs de la jouissance sexuelle. Également, une considération sur l’âge du partenaire devrait être prise en compte.
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