German ARCE ROSS, Paris, 1997
« La Scansion logique de la passe », Colloque Psychanalyse et Recherches Universitaires, Nantes, 1996
Texte publié in : L’Inconscient ignore-t-il le temps ? Presses Universitaires de Rennes, Rennes, 1997, pp. 51-57
The Logical Scansion of the Pass
In the Lacanian proposal of 1967, the pass is established, not simply so that the School guarantees the training of the analyst, but so that, beyond the function of selection, a work of doctrine is developed on the «real at stake in the training of the psychoanalyst». [1]
But since the substance of the testimony is not less clinical, the tendency to consider a procedural-pass and a clinical-moment-pass could be tempting.
This would give us a pass during analysis and an afterthought pass. However, we will try to demonstrate that there is no really a pass without an afterthought of the analysis.
La Scansion logique de la passe
Présentation
Ce texte a été écrit lorsque je me suis présenté à la passe juste après la fin de mon analyse, en 1997.
Les passeurs tirés au sort on été Marta Wintrebert et Maryse Roy. Cette dernière exerce à Bordeaux. Et pour cela, je devais me rendre les samedis là-bas pour mon témoignage de passe.
Mon analyse avec Gérard Miller a duré 12 ans, de février 1985 à avril 1997. Les trois derniers mois ont servi à élaborer sur le moment de passe clinique traversé à cette période. Et mon témoignage lors de la procédure de la passe a duré 9 mois, entre la fin de l’année 1996 et le début de l’année 1997.
A la suite de cette procédure, je suis devenu membre de l’Ecole de la Cause freudienne.
Introduction
Dans la proposition lacanienne de 1967, la passe est instaurée, non pas simplement pour que l’École garantisse la formation de l’analyste, mais pour que, au-delà de la fonction de sélection, il s’élabore un travail de doctrine sur le «réel en jeu dans la formation même du psychanalyste». [1]
Mais puisque la substance du témoignage n’est pas pour autant moins clinique, la tendance à considérer une passe-procédure et une passe-moment clinique pourrait être tentante. Nous aurions ainsi une passe dans l’analyse et une passe après-coup. Cependant, nous essaierons de démontrer qu’il n’y a pas de passe véritable sans après-coup de l’analyse.
Deux dispositifs articulés: l’analyse et la passe
Freud invente la psychanalyse comme un dispositif de parole pour traiter la pathologie des névroses d’abord, celle des psychoses ensuite. Rapidement, quelques phénomènes intrinsèques à l’expérience même du dispositif vont s’ajouter, et se substituer, aux symptômes du départ. Ceci concerne les phénomènes d’amour ou névrose de transfert, les résistances, les réactions thérapeutiques négatives et les difficultés liées à la fin de la cure. D’un dessein psychothérapeutique de départ, l’on vient à la nécessité de traiter une clinique produite dans la cure psychanalytique. Il y a alors un déplacement du traitement de la névrose à l’analyse, comme si cette dernière absorbait la problématique de la première, en la réduisant, mais en rajoutant inévitablement une nouvelle question à résoudre. En se substituant aux symptômes de la demande initiale, la psychanalyse elle-même devient symptôme. Cela crée la nécessité d’appliquer un autre dispositif pour guérir de la psychanalyse. Si Freud invente le dispositif psychanalytique, et avec lui les difficultés de la fin de l’analyse, Lacan en invente la passe. Celle-ci sera un examen dans l’après-coup du passage du psychanalysant au psychanalyste, par un travail de «cumulation de l’expérience, son recueil et son élaboration, une sériation de sa variété, une notation de ses degrés.»[2] Mais elle ne serait pas seulement un dispositif de contrôle, de garantie ou d’examen de ce témoignage de l’analyse. Elle serait aussi bien une manière de permettre au passant de conclure le processus de passage, à savoir d’effectuer le passage de la problématique du deuil de la fin de l’analyse à la conclusion de la cure. Si l’analyse est le temps 1, où se constitue un symptôme nouveau, la passe serait le temps 2, où ce symptôme se résout en désir nouveau.
Si de ce que précède, il se déduit que l’analyse est la condition de la passe, nous pouvons dire que, par un effet de rétroaction, la passe devient la condition de la conclusion de la cure. Non pas que l’on doive se présenter à la passe pour finir son analyse (attitude d’ailleurs vérifiable dans quelques témoignages), mais que le passage par la procédure modifie la substance initiale du témoignage, par un ordonnancement différent des moments cruciaux effectivement vécus dans l’analyse.
Les Moments de passe et la passe
Faire la passe, ce serait, non pas analyser ou chercher à savoir, mais au contraire, démontrer qu’un travail d’analyse et un effet de savoir, ou un désir de savoir, a certainement eu lieu. Sur ce point, François Leguil nous signale que «on ne fait pas la passe dans la passe. La passe est un dispositif pour recueillir la clinique de la passe, pas pour faire en sorte que le sujet fasse la passe. Là, nous pourrions nous servir de ce que J.-A. Miller proposait avant les Journées de l’École freudienne de Paris en 1978 à Deauville — « il y a la passe 1, qui pourrait être appelée clinique de la passe, et la passe 2, qui pourrait être appelée dispositif de la passe.» [3] Il est ainsi permis que l’on puisse s’interroger sur un autre registre que celui de la procédure, qui indiquerait que la passe n’est pas forcément passée et où un désir inédit à peine s’entrevoit, sous l’effet d’un acte d’anticipation. Cette expérience de moment de passe serait la matière principale du témoignage dans le dispositif.
Ainsi, comme il n’y a pas de passe sans analyse préalable, il n’y a pas non plus de passe sans moment de passe dans la cure. Cependant, il ne faudrait pas les confondre. À ce propos, Augustin Menard nous dit que «ces moments — qu’il propose d’appeler «passe anticipée» — ont un rapport d’anticipation à la passe sans être la passe. […] Tous ces moments, toutes ces rencontres s’ordonneront rétroactivement dans la passe. Certains de ces temps ont, toutefois, une valeur d’anticipation plus grande que d’autres dans leur articulation à la passe, même s’ils ne peuvent prendre leur sens que dans l’après-coup. Ces moments de passe ne sont pas la passe et ne doivent pas en imposer pour elle dans un témoignage.»[4] Alors, les moments d’anticipation du passage à l’analyste, lesquels anticipent la perte de jouissance et la disjonction entre objet a et -ϕ, se produisent «à l’intérieur du temps pour comprendre, dans l’instant de voir et non dans le moment de conclure.» [5]
Ces deux entités, que nous avons appelé passe-moment clinique et passe-procédure, nous pouvons maintenant les considérer comme étant respectivement, d’un côté, le moment de passe qui signe la position du passeur, celui qui «est encore, cette passe»[6], où l’on peut aussi identifier une anticipation de la passe, et de l’autre côté, la passe en tant qu’elle fait rétroaction sur un franchissement déjà accompli. Ainsi, le moment de passe dans lequel se trouve le passeur dans son vécu actuel ne fait pas de moment de conclure le temps pour comprendre, il n’est encore qu’un pur instant d’entrevoir la conclusion par anticipation. Comment passer alors du «passé défini de ce qui fut» l’étant de l’analysant, franchir «le parfait de ce qui a été» dans ce qu’est le passeur et vérifier le «futur antérieur de ce qu’aura été» [7] le passant dans ce qu’il est en train de devenir?
Pour un passant, ce qui change entre le moment clinique de passe et le dispositif, c’est la rencontre du passeur, à savoir le moment effectif de l’élaboration du témoignage. Puisque le passant ne rencontre pas dans le dispositif l’adresse finale du témoignage, à savoir le Jury ou Cartel de la passe et au-delà, l’ensemble de la communauté analytique, il reste que le passeur est la seule voie ou moyen de conclusion. Si une transmission peut se dériver de là, elle l’est tout d’abord au passeur. Si une conclusion de passe est possible, qui fasse à son tour et par rétroaction conclusion logique de la cure, elle l’est par le passeur.
C’est pourtant la perspective du passant, qui fait un analysant passeur. C’est l’aperçu de la conclusion, par une scansion du dire, qui met un analysant entre l’hésitation et la certitude et le fait vivre durant un temps, «encore lié au dénouement de son expérience personnelle»[8], l’anticipation de passe. Si le passant indique la sortie du moment clinique de passe, le passeur représenterait l’entrée.[9] Si l’un est pas sans le savoir, l’autre en est encore dans l’embarras.[10] Si le passant se situe dans l’après-coup, le passeur demeure dans l’anticipation.
Cependant, s’il n’y a pas de passe sans moment d’anticipation, il n’y aurait pas non plus d’analyse ou de conclusion de l’analyse sans passe, à savoir que cette dernière modifierait la conjoncture de la fin, et notamment ce qui a trait à la conclusion logique. Ainsi, Claire Harmand fait une distinction prenante entre fin d’analyse et conclusion de la cure, lorsqu’elle affirme que «sans le passage par la procédure de la passe, il n’y a pas vraiment conclusion de la cure, il y a seulement fin d’analyse.»[11] Passer par le dispositif impliquerait une opération qui agit rétroactivement sur le désêtre propre au moment d’anticipation de la conclusion, moment vécu par celui passible d’être nommé passeur, en lui donnant les dérivations logiques de la fin.
Dans ce sens, le moment de passe anticipée viendrait logiquement après le dispositif, puisque ce ne serait que par le témoignage élaboré dans celui-ci que celui-là trouvera sa place dans le contexte d’une construction logique de la cure. À ce propos, Pierre Bruno a déclaré que «la passe comme procédure est l’invention à partir de laquelle le moment de la passe peut prendre valeur d’expérience»[12]. Il soutient l’hypothèse que par la passe il y ait des «effets inédits», «non productibles dans l’expérience analytique». Cette hypothèse peut être vérifiée si nous lisons certains témoignages de passe et la Proposition de 1967 avec les développements lacaniens sur le Temps logique et l’assertion de certitude anticipée[13].
La Passe comme scansion de l’analyse
Dans la vie, un acte fondateur, une décision extrêmement grave et longuement réfléchie, comme par exemple un mariage, ou l’irruption d’un événement de la réalité à caractère symbolique, comme par exemple une naissance, scinde, marque et fixe le temps biographique avec un caractère de moment fécond, qu’il s’agisse d’une circonstance prospère ou radicalement néfaste.
Une psychanalyse conclue est le résultat de la construction de l’inconscient, par la mise en oeuvre du transfert, entre deux actes qui la ponctuent: celui de la demande de savoir à un sujet supposé et celui où l’analysant, «ce savoir supposé, il l’est devenu»[14]. Un acte se fonde alors sur l’engagement éthique de la parole et scande l’histoire dans laquelle le sujet divisé s’exécute entre un avant et un après.
Nous repérons par là l’existence de deux manières de définir le temps: d’une part, en tant que mouvement linéaire d’une série interminable d’événements, ce qui définit le temps vital en termes de durée. D’autre part, en tant qu’émergence inattendue et imprévisible de moments cruciaux qui le ponctuent, en lui dotant d’un mouvement logique dont les lois ne s’aperçoivent que dans l’après-coup d’un acte de conclusion. En effet, dans le Séminaire XI, Lacan distingue «à côté de la durée, substance des choses, un autre mode du temps — un temps logique», où d’ailleurs ce n’est pas l’inconscient qui conclut puisqu’il est «l’évasif»[15]. Selon les développements du temps logique, la conclusion s’obtient par ce qui de l’inconscient fait reste, ce qui reste de l’opération du dire, à savoir l’objet a.
La scansion propre à l’acte, le désigne aussi bien comme le passage à l’après, ou la conclusion d’un passé, que comme l’accès à la rétroaction. Le moment fécond de la passe réaliserait le franchissement, de la série interminable du temps de l’association libre[16], au traitement du dit en tant qu’ensemble fini. Si à la fin de l’analyse, et en conclusion de la cure, l’on obtient un se faire à l’être de son symptôme, ou un «savoir y faire avec la pulsion»[17], il faut cependant du temps pour que l’être naisse «de la faille que produit l’étant de se dire»[18]. Si «l’inconscient s’articule de ce qui de l’être vient au dire»[19], c’est avec la faille de ce dire, à savoir avec un reste de jouissance irréductible à l’analyse, que le passant se hâte à élaborer sa conclusion.[20] Dans d’autres mots, l’objet a, lequel reste pur reste de l’opération du dire, est ce qui précipite la conclusion au temps qu’il faut pour se faire à être, pour s’y faire à son symptôme.
Dans le Temps logique[21], A, B et C sont les trois places où se situent les trois prisonniers en tant qu’ils s’engagent dans l’opération de déduction; ainsi, A sera le sujet qui déduit et B et C, les objets de cette opération. Après un premier instant où ils se regardent et se reconnaissent, il y a une suspension de la déduction, une hésitation sous la forme du doute. Cependant, dans ce premier temps, chez les trois sujets une déduction partielle est extraite, à savoir que des trois possibilités, il y en a une a écarter: celle qui inclut deux noirs et un blanc. On hésite désormais entre deux possibilités: ou on est un noir et deux blancs, ou on est trois blancs. Par là, par cette première scansion suspensive, le temps pour comprendre dans une relation non pas duelle mais tryadique, métaphore de la structure, est engagé. Chacun des trois, lorsqu’il occupe la place de A se dit: si j’étais un noir…B et C n’hésiteraient pas et seraient sortis aussitôt. Pourquoi? Parce que, si j’étais un noir, B se serait dit qu’il ne peut pas être un noir, car autrement C serait sorti à l’instant de voir avec la certitude d’être un blanc. De même pour C… Or, ils hésitent. Alors, s’ils hésitent, je ne peux être que blanc. À ce moment, la certitude s’anticipe et l’acte de conclure se précipite. Les trois prisonniers, en même temps à la place de A, élaborent la même déduction et peuvent, une fois l’anticipation de certitude établie, agir sans délai. Mais, si l’un attend ne serait-ce qu’un instant de plus, cette nouvelle hésitation pourrait le faire basculer sur la certitude qu’il est noir !
Lacan dit «la tension du temps se renverse en la tendance à l’acte»[22], c’est-à-dire que l’anticipation de la certitude crée une tendance à la hâte et ainsi, la conclusion logique ne se conçoit que comme acte qui compacte la tension temporelle subjective en un moment objectif [23].
La condition de l’épreuve de la prison c’est que, non seulement l’on réussisse à déduire un résultat conforme à la marque qu’on porte, mais aussi que l’on sache transmettre les éléments logiques qui ont conduit à passer à la déduction. Condition double donc, que celle que le directeur de la prison attend du témoignage pour accorder son verdict. Condition qui dit: il faut passer par l’épreuve et il faut savoir transmettre après-coup le savoir acquis dans l’expérience.
Après-coup, puisqu’on ne fait la passe qu’une fois, à savoir lorsque l’on vit un moment clinique, ou une série de moments cliniques, dont le caractère maniaco-dépressif serait le paradigme. D’abord, on est la passe, on transite par elle le temps qu’il faut, ensuite on a la possibilité, après la passe dans l’analyse, d’accéder au dispositif pour en témoigner après-coup de ce qui s’est passé. Toutefois, notre idée est que la clinique de la passe ne prendrait son sens qu’une fois que l’on serait passé par le dispositif. Ainsi, le moment 2, celui du dispositif de la passe, deviendrait la condition et le réarrangement du moment 1, celui clinique.
L’après-coup de la passe serait alors un accès par rétroaction à tout le mouvement de l’analyse, pour extraire la logique de ses moments cruciaux, en se fondant sur le reste du processus de compactage de la jouissance du dire. Cette opération permettrait la conclusion logique de l’analyse.
German ARCE ROSS. Paris, 1997
Notes
1. LACAN, J. «Proposition», in : Scilicet 1. Seuil, Paris, 1968, p.15.
2. Id., p. 27.
3. LEGUIL, F. «La clinique du “plutôt maniaco-dépressivement” et la garantie de l’École», intervention dans la discussion, in: Revue de l’École de la Cause freudienne, n° 18. ECF, Paris, 1991, p. 127.
4. MENARD, A. «Passe anticipée», in: Revue de l’ECF, n° 20. ECF, Paris, 1992, pp. 15 et 17.
5. Id., p. 17.
6. Cf. LACAN, «Proposition», op. cit., p. 26.
7 LACAN, J. «Fonction et champ de la parole et du langage», in: Écrits. Seuil, Paris, 1966, p. 300. Cf. aussi: AMP, Comment finissent les analyses. Seuil, Paris, 1994, p. 170.
8 Cf. LACAN, «Proposition», op. cit., p. 26.
9 RAZAVET, J.-C. «Une expérience de transmission», Revue de l’ECF, n° 18. op. cit., p. 34: «si la traversée du fantasme est de l’ordre de l’éclair, elle n’en est pas moins, dans la cure, de l’ordre de la durée. Elle a une entrée et une sortie. Le passeur désignerait l’entrée, l’A.E. la sortie.»
10 MENARD, A. «Passe, non-savoir et savoir nouveau», Revue de l’ECF, n° 18. op. cit., p. 25: «Le passeur, lui, n’est pas davantage dans une position de savoir. Il ne sait ni très exactement pourquoi il a été désigné par son analyste, ni surtout ce qu’il doit savoir.»
11 HARMAND, C. «La Passe modifie la fin de l’analyse», in: La Cause freudienne, n° 29. ECF, Navarin Seuil, Paris, 1995, p. 69.
12 BRUNO, P. , «Transmission de la castration»,Revue de l’ECF, n° 18, op. cit., p. 143.
13 LACAN, J. Écrits, op. cit., p. 197.
14 Cf., LACAN, «Proposition», op. cit., p. 25.
15 LACAN, J. Le Séminaire, Livre XI: Les Quatre concepts fondamentaux de la psychanalyse. Seuil, Paris,1973, p. 33.
16 Cf. Le Temps fait Symptôme, La Cause freudienne, n°26. SOLER, C. «Le Temps qu’il faut», p. 17, et LAURENT, E. «Le Temps de se faire à l’être», p. 40.
17 LAURENT, E., op. cit., p. 42.
18 LACAN, J. Scilicet 2/3. Seuil, Paris, 1975, p. 78.
19 Id., p. 79.
20 LACAN, J. Le Séminaire XX: Encore. Seuil, Paris, 1975, p. 31: «S (A barré). Par là, j’ai ajouté une dimension à ce lieu du A, en montrant que comme lieu il ne tient pas, qu’il y a une faille, un trou, une perte. L’objet a vient fonctionner au regard de cette perte.» Page 47: «la fonction de la hâte, c’est déjà ce petit a qui la thétise.»
21 LACAN, J. «Le temps logique», op. cit., pp. 198-202.
22 Id., p. 206.
23 Ibid., p. 209: «(la) certitude se vérifie dans une précipitation logique que détermine la décharge de cette tension, pour qu’enfin la conclusion ne se fonde plus que sur des instances temporelles toutes objectivées, et que l’assertion se désubjective au plus bas degré.»
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16/04/2015 at 17:10
Voir, comprendre, conclure…mais avant cela une invite à reprendre le chapitre de Ecrits